Jorge Fernandes Monteiro (Jotamont)
- Compositor
- músico
Le 10 octobre 1913, Jorge Monteiro est né, à bord d'un voilier, à 200 milles des côtes des États-Unis, où il a vécu jusqu'à l'âge de 11 ans. Quand il atteint cet âge, il retourne avec sa mère au Cap-Vert et à S. Vicente.
A l'âge de seize ans, il compose sa première samba, avec une orchestration réduite, pour la bande municipale, où il fait l'apprentissage de José Alves dos Reis (Nhô Reis).
Plus tard, il se dirigea vers la ville de Praia, sur l'île de Santiago, où il passa vingt et un ans comme premier trompettiste de la Bande de la ville. C'est là qu'il commença à composer ses premières "mornas" et, en 1967, il retourna à S. Vicente pour prendre la place de "Nhô Reis" qui était mort. C'est surtout à partir de cette date que sa personnalité commence à s'affirmer comme musicien, grâce à la nouvelle tâche de diriger la bande de la ville.
Son inspiration est principalement liée à la terre, à un sentiment nationaliste-romantique, très commun chez B. Léza, et au début de l'émigration massive.
Ses "mornas"les plus connues sont : "São Cente", "Fidjo Maguado", "Terra Mártir", etc.
Le 10 octobre 1913, Jorge Monteiro est né, à bord d'un voilier, à 200 milles des côtes des États-Unis, où il a vécu jusqu'à l'âge de 11 ans. Quand il atteint cet âge, il retourne avec sa mère au Cap-Vert et à S. Vicente.
A l'âge de seize ans, il compose sa première samba, avec une orchestration réduite, pour la bande municipale, où il fait l'apprentissage de José Alves dos Reis (Nhô Reis).
Plus tard, il se dirigea vers la ville de Praia, sur l'île de Santiago, où il passa vingt et un ans comme premier trompettiste de la Bande de la ville. C'est là qu'il commença à composer ses premières "mornas" et, en 1967, il retourna à S. Vicente pour prendre la place de "Nhô Reis" qui était mort. C'est surtout à partir de cette date que sa personnalité commence à s'affirmer comme musicien, grâce à la nouvelle tâche de diriger la bande de la ville.
Son inspiration est principalement liée à la terre, à un sentiment nationaliste-romantique, très commun chez B. Léza, et au début de l'émigration massive.
Ses "mornas"les plus connues sont : "São Cente", "Fidjo Maguado", "Terra Mártir", etc.